michel :mais ce blocage du haut du mât qui l’empêche de cintrer n’est il pas en contradiction avec l’utilisation du pataras ?
Comme le dira phil, il fut un temps ou les mats inflationnaient d'altitude.
On vit ainsi des greements a double etage de Bdf, des tiges de presque deux fois la longueur du bateau (11m) (souce E.KOCH). Les speculations, les microbes, certains italiens adapterent leur greements aux plans d'eau interieur et regates de petit temps.
Phil dira que pour tenir ces nouilles, on vit refleurirent les bastaques voire les doubles bastaques!
Phil dira que c'etait surtout un phenomene de mode et je tendrais a abonder dans son sens.
Puis vint un autre temps dira phil, ou on s'appercut que bateau simple et rapide a regler permettait de finir souvent bien place. Les bastaques, basses bastaques, cales de mat de type jambe de force, etc... disparurent restait les longues nouilles.
Un coup de pataras, la tige cintre a la limite du flambage, grand voile debordee ou centree, un peu de tension sur l'ecoute ou du hale-bas, et la tete de mat de suivre le mouvement allegrement. D'ou apparition de guignol (bonjour les petizanfan).
Comme en dragon dira phil, l'usage de l'accessoire est variable et a varie.
Certains ne sont pas reglables, d'autres se reglent a terre, enfin les plus drole se reglent en navigation.
Et maintenant, lorsque tu prends du pataras, tu raidis ton etais.
La pentoire permet d'eviter d'agir aussi sur la tete de mat. le hale-bas de gv a le meme effet que le pataras sur la tete de mat.
Phil te dira de tester le bidule sans tension pour observer l'importance du devers.
Devers qui te serait salutaire pour tes navigations en equipage lege...
Et la je suis encore d'accord avec fifi!