Forum Micro

C'est cela, oui!!!

Et avec le réchauffement de la planète, il y a aussi l'effet de fesse!!!
Un skipper pétomane, handicap ou avantage en haut douce???



Et quand tout l'équipage s'y met ... surtout à trois, on gagne le célébre noeud!!!

Tu veux parler des serres de Fèz ?

Tu apprécieras sans doute la proposition de révision des règles de classe suivante :
Pour éviter que les concurrents nationaux soient favorisés lors d'un championnat du Monde Micro en écoutant les conversations du comité de course, il faut absolument leur brouiller l'écoute.

Je cherche malheureusement... une bonne traduction en anglais.

Bonsoir,

J'ai eu la chance de faire une régate samedi avec Fred (Epsilon) dans la baston (GV 1 riz + tourmentin) et des claques à mon avis à plus de 60km/h.

Nous étions trois fred (vous connaissez) + damien (expérimenté) + moi (pas trop manchot).

On était vraiment pas de trop.

Quand il faut affaler d'urgence un spi qui casse sa sangle ou quand il faut envoyer le tangon tout en maintenant l'assiette ....

Par contre c'est vrai que dans la pétole (on en a souvent sur annecy), on est le plus souvent deux (et tout seul ça serait presque mieux)...

Donc en regardant au pire, trois équipiers c'est raisonnable dans la baston c'est plutôt rassurant sur nos micros gitards (pour info, les 250 kg de viande nous permettent de prendre plus de risques au près et d'envoyer qd même le spi quand tout le monde serre les fesses au portant)

Par contre, c'est vrai que c'est difficile de recruter de l'équipier. Le micro pourrait il devenir une classe attrayante pour les jeunes équipiers issus des écoles de voile ?

Pour cela, il faut que les jeunes puissent connaître et naviguer en micro dans le cadre de la formation en écoles de voile. Je l'ai fais régulièrement en classe découverte avec mes anciens microsails. Pour ceux que cela peut intéresser, nous avons lancé une initiative pour développer des flottes de micros simples et performants qui pourront être utilisées dans le cadre de manifestations locales et mobiles ciblées vers les jeunes pour les amener à apprécier notre classe.

Le reste est essentiellement du recours de nos dirigeants nationaux pour mettre en place des régates locales de bon niveau permettant d'intéresser les jeunes qui sont comme on le sait : sans le sous, difficiles à capter, à déplacer et à maintenir sur un support donné dès lors que celui-ci présente des complications de mise en oeuvre.

Le micro reste un excellent support ausii bien pédégogique que ludique, la sécurité et l'habitabilité en plus. Il est très facile d'organiser avec des jeunes des WE de régate ou de balade grâce aux couchettes et aux petits kits cuisine présents dans ces micros.

Il faut que les volontaires se fassent connaître pour lancer cette action au niveau national. Je m'occupe de la partie Sud Ouest de la France pour le moment, ce qui fait déjà beaucoup ... Voir un peu de méditerranée pour l'été 2007 ou 2008.

Localement on a un autre problème c'est le manque de jeunes que ce soit en habitable, dériveurs ou même opti. Je pense qu'il y a un gros travail d'information à faire pour donné envie aux jeune de faire de la voile et pourquoi pas du micro. Dans notre région qui n'est pas un pays de "marins" (à l'intérieur des terres) beaucoup se font une fausse idée de la voile, ignorent la présence de clubs locaux, pensent qu'il faut nécessairement avoir un bateau pour naviguer alors que beaucoup de bateaux ne sortent pas faute d'équipiers.

Bref on a d'un coté des bateaux qui moississent dans des clubs et de l'autre des gens qui aimerai faire de la voile mais pense que ce n'est pas possible prés de chez eux, ou que c'est cher car il faut avoir un voilier...

Dans tous les cas ton projet Bruno vas dans le bon sens...

Avec les actions de communications adéquates, ça peut marcher.

Pour ma part, cette action doit s'autofinancer. Cela peut passer par du mécenat d'entreprises (sponsoring classique), de la publicité (un peu comme des panneaux publicitaires mobiles), de la location de flottes pour des stages d'école de voile, à des particuliers sur des zones ciblées (La Rochelle, grands lacs du Sud Ouest pour ma part) ou pour organiser des régates fermées (inter-entreprises, associations diverses, etc.) Il y a bien d'autres formes de services à rendre avec une telle flotte, il faudra voir ça quand elle sera créée.

Pour le lancement en tout cas, je fais appel à des entreprises pour financer la construction des bateaux et leur placement en lieu sûr afin de garantir leur disponibilité pour des actions rémunératrices.

C'est aussi simple que cela.
Commencer par le commencement ...