Chavirage sur Microsail

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Thierry YVEN
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Chavirage sur Microsail

Message par Thierry YVEN »

Bonjour,

en régate samedi sur le lac d'annecy, 30 Nd claques à 40Nd (vérifié Anémo).
On part à trois (200 kg) sur un microsail quillard (lest 110kg?) pour la manche de la régate lancée en décalé. Bonne maîtrise du bateau dans les premiers bords de près (1 ris, petit foc à l'avant (4m2).

On part au portant bateau stable, bonne vitesse, et plus on s'approche du centre du lac plus il y a de creux mais rien d'inquiétant.

On vire la bouée de largue, le bateau à peu près dans des angles normaux, et on se pose la question de réduire d'un ris supplémentaire ou d'affaler le foc pour passer sur trinquette. Mais globalement, pas de soucis donc on conserve la toile avec les écoutes dans les mains prêt à réguler la tension.

Une claque nous couche, un vague nous termine, on passe tous à la baille, l'eau rentre dans le cockpit, en deux minutes le bateau est retourné.

Sauvés par le bateau des mouilleurs , nous assistons de loin au remorquage du bateau à l'envers par les pompiers. Il arrivera "miraculeusement" au port de Menthon St Bernard sans couler et sans autres dommages q'un toron de bas haubans en moins et la girouette démontée avec la quille qui dépasse à peine de l'eau. Les pompiers font un travail formidable et arrivent à mettre le bateau à l'abri à l'endroit sur un ponton.

Moralité de l'histoire:
Tout ce qu'on a dit que l'on devait faire et que l'on a pas fait:

fermer la porte du cockpit
prendre un deuxième ris
réduire le foc pendant que l'on pouvait encore ( au largue)

Nous aurait éviter de passer dimanche toute la journée à retirer quelques tonnes d'eau du bateau, de perdre du matos (et encore on a eu un bol de cocus ..)

ce que l'on a bien fait:

mettre des vêtements adaptés aux conditions .
METTRE DES GILETS DE SAUVETAGE AUTOGONFLANTS.
ne pas paniquer
fermer le capot


Moralité des moralités:
Les micros sont des machines qui NE DEVRAIENT pas courir pas plus de 30 Nds de vent. Les réserves de flottabilité sont NETTEMENT INSUFFISANTES en standard sur les bateaux, les risques de COULER sont majeurs.

Je conseille donc à tous les propriétaire de rajouter au moins 400 litres de volume de flottabilité en plus sur leurs bateaux, de veiller à ETANCHEIFIER les portes/capot afin d'éviter toutes les entrées d'eau en cas de chavirage et à tous de porter des GILETS GONFLABLES en état de fonctionnement lors de ces régates.

Je serai pour ma part favorable à une règle de classe réservant l'espace sous les bancs à une réserve de flottabilité élargie et augmentant considérablement les coffres dont disposons, et de dédier de la même façon une bonne partie de l'espace avant à une réserve supplémentaire.

Pour ma part je vais complètement obstruer les deux réserves sous les bancs de Virus avec des mousses à bulles femées et rajouter une réserve du même ordre de l'avant de la dérive afin de ne pas se retrouver sans aucun flotteur en cas de chavirage. De même, je vais étudier une solution d'étanchéification de la porte et du capot afin de ne pas risquer de renouveler l'expérience.

Amitiés,

Un dépucelé du chavirage
Dernière modification par Thierry YVEN le 22 oct. 2007 22:16, modifié 3 fois.
Thierry YVEN
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Phil de Troy
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Message par Phil de Troy »

Dans les règles de classe, il est prévu qu'on prend le départ jusqu'à 5 Bft et qu'on interrompt la régate quand ça dépasse force 6.
Bien sûr, ce n'est pas applicable dans une régate HN, mais comme on est seul responsable de prendre le départ et de continuer la course, autant prendre l'initiative.
IL est vrai aussi qu'il n'est plus dans nos usages de prendre des ris ou d'utiliser un petit foc (et pourtant Grivel a remporté la Micro Cup 1998 grâce à un ris dans la GV et un foc de 4,55 m², là où plusieurs autres vedettes ont terminé à la nage).

Le Microsail Q prend des coups de gîte certes, mais la quille doit rester en position basse et BLOQUEE, ce n'était manifestement pas le cas ici.
Le Microsail Q est un des Micros les plus raides à la toile, le Neptune est réputé le moins raide.

Les panneaux et capots fermés, éternelle question, mais une fois que le bateau est rempli d'eau, on est hors course. Au-dessus de 4 Bft, c'est une bonne initiative de fermer tout.
Dernière modification par Phil de Troy le 30 oct. 2007 15:36, modifié 2 fois.
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Thierry YVEN
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état de la quille

Message par Thierry YVEN »

Quille basse et bloquée par des boulons...
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Phil de Troy
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Re: Chavirage sur Microsail

Message par Phil de Troy »

Thierry YVEN a écrit :... avec la quille qui dépasse à peine. ...
Mal interprété...

En ce qui concerne la flottabilité insuffisante, c'est mon principal souci.

Avant cet incident, le tien était plutôt de gagner du poids sur ton Neptune, moi j'essaie de faire accepter par les propriétaires une modification qui va alourdir leur bateau.

Tu verras aussi dans les règles de classe que les nouveaux bateaux de série, pour être reconnus comme tels, doivent avoir à la sortie du chantier une flottaison conforme à nos règles, et si je n'étais pas bloqué par certaines nations, les règles d'insubmersibilité seraient bien plus sévères.
En dehors des règles proprement dites, je donne des recommandations à ceux qui le demandent, et ces derniers temps plusieurs bateaux neufs (série et protos) ont été testés avant l'établissement du certificat de jauge ou la certification comme bateaux de série.
Un exemple sur viewtopic.php?t=1080
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Thierry YVEN
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Poids

Message par Thierry YVEN »

Je ne sais pas si le problème est une question de poids ou une question de répartition des poids et de taille de la dérive. Avec une dérive plus profonde et mieux lestée à son extrémité, on améliore quand même considérablement le couple de redressement.

Vu que Virus est à sec et que je suis en train de travailler sur la dérive, je serai prêt à tenter la pose d'un saumon amovible (deux tubes inox traversave la dérive de part en part et permettant d'être bouché) lestant très lourdement (+60kg) le bateau en bas et de voir pendant le national comment cela améliore le couple de redressement du bateau et éventuellement comment cela handicape le bateau.

Je serai près à parier que dès 20nd de vent cela pourrait constituer un avantage pour le bateau, même si de façon évidente, dans la pétole cela constituerait un handicap de taille. Ceci dit un équipier c'est 60kg au minimum (j'ai sur moi une marge de manoeuvre non négligeable non plus)

Le Neptune comme le micro sail ne redressent pas visiblement et j'en ai fait l'expérience. Ce qui est également intéressant c'est que brusquement, les gens ressortent l'histoire d'un first 18 QR qui avait également coulé et qui a été renfloué, de deux naufrages de micro sail sur le même lac dans des années précédentes, d'un propriétaire de First 18 qui oubliant de mettre une fermeture sur un jour dans sa quille a vu 10 cm d'eau s'infiltrer dans son bateau en l'espace de 10 min. Bref la fin de l'omerta ...

Ceci dit un fun est resté également complètement couché et il a fallu largué totalement le foc pour qu'il accepte de se relever. Mais enfin lui ne s'est pas retourné...

Pour finir, il est anormal d'avoir un bateau qui coule dans ces conditions (lac, taille des vagues maximum 1m / 1m 20) ça fout vraiment la frousse et moi qui prévoyait une petite balade en famille sur le léman avec le neptune, je suis en train de penser à acheter un surprise ...

(Pour info les surprise dans les même conditions étaient sous spi ...)

Enfin en admettant que l'on arrive à faire des bateaux qui arrêtent de couler, il faut peut être imaginer des dispositifs qui les remettent à l'endroit dès qu'ils se sont couchés.


Dernier commentaire par rapport au lien que tu mets Phil, dans les même conditions de remplissage d'eau et avec ton poids en moins ;) , est ce que les équipiers arrivent à redresser un bateau couché ? ou est ce que le bateau de toute façon cabane, ce qui règle de toutes façons l'intérêt de la flottabilité qui se limite et ce n'est pas rien à un problème de survie ?
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Message par Christophe J »

Y'a peut-être aussi à voir du côté du gréément.

L'ancien propriétaire de mon bateau (microsail) a pris la précaution de faire ajouter un troisième ris à la grand-voile, plus un foc plus petit et un tourmentin à la garde robe (je n'ai pas les dimensions en tête).

Avec ça en solo le bateau se tient mieux, même quand éole se déchaîne.

Christophe
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Message par Phil de Troy »

J'ai mis un Gib'Sea Plus 80 avec le mât loin dans l'eau à trois reprises (dont deux le même jour...) et la troisième fois, le bateau est revenu sans feu de tête de mât et aves des traces d'abrasion sévère en haut du mât...

Le Micro, c'est par définition plus léger.
Et en prime, on n'a pas d'anémo fixe, nes beauforts sont souvent intuitifs...

Dès que le vent menace, FERMEZ-LA (la descente bien sûr), même si ce n'est pas rigoureusement étanche, ça retarde sensiblement la catastrophe.

Une fois un bateau rempli, je ne l'ai jamais vu s'en tirer par ses propres moyens. Surtout parce que pour récupérer, l faut le mettre en eau calme et à l'abri du vent. Mais une fois revenu à terre, le bateau peut reprendre du service dans les 15 minutes.

Le tout est de savoir si la flottabilité est suffisante et bien répartie, ce qui permet un remorquage facile, ou si le bateau flotte dans une position anormale ou coule, et là le sauvetage nécessite tous les moyens de sécurité d'une régate, et la réputation de la classe en prend un sacré coup...
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Confirmation

Message par Thierry YVEN »

Je suis complètement d'accord avec Phil.
Un bateau complètement en détresse avec un risque de couler important mobilise tous les moyens de sécurité d'une régate.

Ce qui veut dire qu'il met en danger tous les autres participants de celle ci en privant les autres concurrents des moyens de secours.

Je pense donc que l'insumersibilité et la capacité de se redresser sont le grand minimum à exiger des bateaux qui sont autorisés à courir.

Autrement, il faut juste leur interdire la course dans les conditions supérieures à leur homologation (cad 25nds pour les micros), c'est ce qui risque d'arriver malheureusement si on continue à avoir trop de sinistres de ce genre ...

Ce qui serait dommage...
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Message par Phil de Troy »

Et on reste cohérent. A 25 noeuds de vent, les équipages doivent d'eux-mêmes prendre la décision d'arrêter.

On a déjà tenté le coup avec la règle de la fermeture des capots, au départ le comité de course ne pouvait pas intervenir, bilan à La Londe, trois bateaux coulés capots ouverts, dont un responsable national qui avait voté à l'IMCCA contre la fermeture sur ordre du comité, avec des arguments du genre "on nous prend pour des irresponsables, ce sont les équipages de bas de classement qui ne connaissent pas leurs limtes, etc". Une autre victime à La Londe était Robert Humbert, présumé connaître ses limites aussi, et Marcel Krauth s'est lui aussi retrouvé en position délicate.
Dernière modification par Phil de Troy le 30 oct. 2007 17:29, modifié 1 fois.
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Message par Lobass »

Salut,
Puis-je malgres mon incompetence totale vous suggerer une idee ?
Une "bouee" en tete de mat ne resoudrait pas la majeure partie des pb ?
En arretant le renversement a un moment critique ?
A+, laurent. (C'est que vous aller finir par me foutre la trouille avec vos conner... :lol:)

PS: Je vois sur la doc de l'epoque du micro chat, un dessin qui le montre completement couche, coque a l'eau, le haut du mat sur un ponton pour "travailler" sur la tete de mat... C'est possible ca ???? :shock:
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Message par Phil de Troy »

L'abattage en carène est une pratique courante et sans danger sur tous les Micros, petite restriction au niveau danger en fin d'article.

D'après les règles de classe un bateau doit redresser 10 kg en tête de mât pour un Proto ou un Régate, 15 kg pour un Croiseur.
A noter qu'il est hautement recommandé pour un Régate d'atteindre 12 kg, je dirais même 12,5 à 13 kg pour un Neptune et 15, 14 ou 12,5 kg pour le Microsail D, M ou Q.
En effet, le bateau est plus lourd qu'un Proto, d'environ 20% (c'est relatif, beaucoup de Protos sont joyeusement au-dessus du minimum 450 kg.
Comme on peut considérer que les stabilités sont équivalentes pour une écart transversal égal entre le centre de gravité et le centre de carène, un bateau 20% plus lourd devrait aussi redresser 20% de poids en plus.
Et si j'ai fait un commentaire supplémentaire pour le Neptune, c'est aussi parce que le couple de rappel doit être égal. Si le mât est plus court de 40 cm par rapport à un Proto moyen, il faudrait ajouter 5% de poids (600 gr) pour obtenir le même couple de rappel.

Quand tu couches le bateau, en tirant de préference par la drisse de foc, tu ne lui fais subir que des contraintes largement inférieures à ce qu'il encaisse en navigation. La force qu'il faudra appliquer pour le faire passer au-delà de 50° te convaincras facilement du fait qu'on ne l'envoie pas au tapis facilement.
Un gros costaud tire sur la drisse, un équipier assure sur un taquet ou un anneau.
Si c'est trop dur... envoie déjà 5 kg au capelage d'étai avec la drisse de spi, mais fais gaffe à tes déplacements à bord, le bateau a perdu près de la moitié de sa stabilité (par exemple reste dans l'axe et débarque par l'arrière).

Une fois le mât à l'horizontale (ou la coque à la verticale, c'est plus rigoureux), tu appliques le poids prévu (j'utilise des disques d'haltérophilie) en tête de mât, et normalement, le bateau doit encore avoir tendance à se redresser. A ce point, autant en profiter pour mesurer sa capacité de redressement réelle, tu suspends donc par exemple un jerrycan de 5 litres plein (de préférence un modèle de camping avec une petite vanne en-dessous), et tu laisses l'eau s'écouler doucement. Lorsque l'équilibre est atteint (le mât ne doit plus être soutenu), tu fermes la vanne et tu enlèves le jerrycan et tu le pèses.

Précautions à prendre pour redresser le bateau : porter des gants en cuir, et choisir une des deux seules méthodes sûres : laisser remonter le mât très lentement en le freinant sur un taquet ou un anneau, ou s'assurer que la drisse est libre et lâcher tout sans hésiter. ça fait des vagues, mais au moins on ne se crame pas la peau des mains.

*************************

Venons-en à ta question de la bouée en tête de mât. Pourquoi pas, mais c'est une prise au vent supplémentaire, et du poids dans les hauts, donc aussi une perte de stabilité. Celà revient à sacrifier la sécurité active au profit de la sécurité passive (rouler avec des pneus lisses sous prétexte que la voiture a des airtbags). Dans l'élaboration des règles de classe, nous avons prévu que le dispositif, pour pouvoir être utilisé en régate, devait être à poste lors des tests de stabilité... Ce qui semble avoir été largement dissuasif, la mode est passée.

A noter un autre dispositif intéressant, une mousse souple dans la tête de la GV, c'est apparemment obligatoire en course en mer sur le Sprinto dériveur.
Dernière modification par Phil de Troy le 30 oct. 2007 15:40, modifié 1 fois.
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Pierre-Jean DELPEUCH
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Message par Pierre-Jean DELPEUCH »

On pourrait aussi penser à utiliser des genres de boudins gonflables ou en mousse que l'on pourrait insérer dans le haut des mats, tout en ménageant un passage pour la drisse de GV.

Exemple :
Image

A noter que couper en deux ca fait également de beaux pares battages, légers, long et pas cher (environ 2€ dans les magasins de piscines, grandes surfaces, bazar, etc...)


L'avantage : pas de prise au vent. :wink:

Il y a une dizaine d'années ART faisait ce genre de "boudins" qu'il fallait glisser dans le fourreau des voiles de planches.
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